• Ce n'est pas tous les jours que je gagne alors une fois n'étant pas coutume, je suis heureuse de vous annoncer que j'ai participé au grand jeu du CEKOICA que Liza avait lancé sur son blog , et que j'ai gagné le 1er Prix EUREKA !
    Superbe dessin original qui grâce à la téléportation m'est parvenu en l'espace de quelques minutes.

    Comme j'aime partager je vous montre ce superbe prix !

    Pas la peine d'essayer de me le voler, il est bien caché au fond de mon coffre-fort et je ne vous donnerai pas la combinaison même sous la torture !

    Olympe.jpg


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  • Encore un peu courage pour parcourir quelques nouveaux kilomètres au milieu  de l'arboretum des Barres.
    Freezia, tu as vu je t'ai laissé un peu de répit pour que tes chaussures de marche aient le temps de souffler !
    Liza, tu remarqueras c'est toujours aussi chic, on retourne à l'Arboretum !

    Ceci dit, c'est reparti !

    Un peu d'histoire :
    En 1821, Philippe André de Vilmorin achète le domaine des Barres, propriété de 300 hectares. Durant plus d'un siècle, cette célèbre famille de grainetiers ( Oui oui c'est bien en rapport avec les magasins du même nom) sera à l'origine de nombreuses études comparatives sur les espèces et permettra à l'Arboretum d'être connu des professionnels, des botanistes et des scientifiques du monde entier.
    En 1866, l'Etat devient propriétaire d'une partie du domaine et y installe une école forestière.  C'est en 1936 que l'Etat devient propriétaire de l'intégralité du domaine des Barres ainsi que du Château de la famille Vilmorin. Au fil des années, le domaine verra s'établir plusieurs organismes scientifiques d'études et de formation sur le thème de l'arbre et de l'environnement.

    Vous pouvez visiter le site internet de l'arboretum  ICI.

    Je vous laisse faire les petits écureuils et sauter de branches en branches.



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  • Puisque vous avez remarqué dans l'article sur l'Arboretum (très chic comme nom, n'est ce pas Liza !)que les prénoms de mon mari et mon fils étaient des anagrammes et que vous avez posé la question de savoir si c'était le hasard ou pas, je vais vous le dire.

    D'abord il faut que je précise que ma fille aînée s'appelle Aurore, (elle brode super bien si vous voulez voir ce qu'elle vient de terminer c'est
    ICI), ma fille cadette s'appelle Amandine (vous la connaissez puisque vous l'avez vue en photo dans l'article sur ma balade parisienne en sa compagnie).

    Donc là vous remarquez déjà que les deux prénoms commencent par un A !!!

    Puis mon mari s'appelle Alex, encore un A !

    Alors, lorsque j'étais enceinte du troisième, nous avons su très tôt, que ce serait un garçon et nous nous sommes mis à la recherche d'un prénom court ( à cause du nom de famille à rallonge, il n'était pas question que le pauvre petit ait besoin de deux lignes de copie pour écrire son nom à l'école)  qui commence par un A, qui de plus soit d'origine hébraïque et qui nous plaise ! 
    Beaucoup de choses à la fois, mais qui permettent de faire un tri sélectif.
    Finalement nous avions trouvé deux prénoms qui remplissaient nos conditions : Aaron et Axel.

    Notre choix s'est porté sur Axel puisque c'était l'anagramme d'Alex !
    Précision Axel vient du prénom hébraïque Absalon qui signifie "Père de la paix".

    Allez je vous confie autre chose : il y a 9 ans et 1 mois d'écart entre chacun de mes trois enfants.

    Et dernière confidence : Sur une de mes épaules, j'ai une fleur d'Orchidée tatouée dont le coeur est un A !
    A comme Aurore, Amandine, Axel, Alex les quatre Amours de ma vie !

     

     

     


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  • Je vous propose une petite promenade (vous allez me dire: Encore de la marche!) à  travers l'arboretum  national des Barres.
    Situé pas très loin d'où j'habite, l'arboretum est une collection plus que centenaire, constituée d'arbres et d'arbustes originaires de différentes contrées du monde.
    Ce site exceptionnel, nous le devons à Philippe-André de Vilmorin et sa famille qui, en 1873, permet la création de l'Ecole forestière des Barres.
    Les Vilmorin et l'Etat vont alors pendant près d'un siècle, se consacrer à l'élaboration de 3 grandes collections botaniques.
    Sur un site de 35 hectares, sont réunies près de 2500 espèces et variétés végétales. (environ 8500 sujets).
    Cette collection est l'une des plus complète au niveau européen, et une des plus importante au niveau mondial.
    Le parc est divisé en trois grandes collections:
    • Collection géographique : les végétaux y sont réunis suivant leurs origines géographiques.
    • Collection systématique : les végétaux y sont réunis selon leur famille botanique.
    • Collection ornementale : on y trouve des sujets spectaculaires tel que le chêne de Hongrie ou le tuya aux 80 troncs( un seul et même thuya dont les branches ont refait des troncs et qui à lui tout seul constitue une petite forêt), cette collection rassemble des variétés hors du commun.
    Cerise sur le gâteau,( je devrais dire fraise sur le gâteau) nous avons nous délecter des fraises des bois qui tapissent le sol.
    Dans un premier temps je vous offre un diaporama de quelques spécimens.
    Un autre viendra dans un prochain article.
    En raison de l'immensité du parc, nous n'avons pu parcourir que les collections géographique et ornementale.
    Nous y retournerons à l'automne pour pouvoir régaler nos yeux des couleurs que prendra la multitude d'érables.





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  • Pour satisfaire à la demande de plusieurs lectrices, je vous ai préparé  un PAZAPA  pour confectionner les fraises pique-aiguilles.
    Maminou dit qu'elles ressemblent à des fraises Tagada géantes, Liza croit que je suis une brodeuse-jardinière-sorcière qui fait pousser de drôles de choses.
    Alors avec ce PAZAPA, vous allez pouvoir vous transformer en brodeuse-jardinière-sorcière et faire pousser des fraises Tagada géantes.

    Ingrédients :

    2 morceaux de tissu de couleur  différente (les chutes de tissu font très bien l'affaire)
    1 petit ruban de satin (pour la queue)
    Un peu de fil et une aiguille
    Des graines de lin, ou de la limaille de fer, ou du kapok pour le rembourrage. (Les graines de lin sont plus agréables que la limaille de fer , elles permettent d'aiguiser et d'empêcher les aiguilles de rouiller).
    Personnellement j'avais acheté les graines de lin chez l'ABC  lors d'un salon , peut être qu'il est possible de s'en procurer via leur site internet.
    Vous obtiendrez le gabarit en cliquant sur le lien suivant :
    s3.archive-host.com/membres/images/848530171/gabarit_fraise.jpg

    La hauteur de votre gabarit N° 1 doit faire au minimum 7 cm, c'est la taille que vous aurez en imprimant l'image.


    1.jpg
    2.jpg
    Découper les deux gabarits et reporter deux fois le gabarit N° 1 sur l'envers du tissu choisi pour le corps de la fraise
    et deux fois le gabarit N° 2 sur l'envers du tissu choisi pour la queue.


    3.jpg
    Faire une pince avec des petits points en suivant le triangle dessiné en haut du gabarit N° 1 et ceci sur l'envers du tissu, sur les deux morceaux de tissu.
    4.jpg
    Positionner les deux morceaux de tissu endroit contre endroit.
    Faire de même pour les deux morceaux de tissu qui serviront à la queue.


    5.jpg
    6.jpg Pour le corps de la fraise faire le tour du tracé en points arrières, sans coudre la partie haute du "cône".
    Pour la feuille faire des points arrières sur le contour du tracé en laissant un espace suffisant pour pouvoir ensuite retourner le tissu.
    Découper le surplus de tissu en essayant d'être le plus près possible des pointes de la fraise et des extrémités des feuilles.



    7.jpg Retourner les tissus et fermer le côté de la feuille  par des petits points invisibles.

    7-2.jpg

    Passer un fil de fronce dans le haut du corps de la fraise, en gardant suffisamment de fil pour pouvoir fermer en serrant bien lorsqu'elle sera rembourrée.

    8.jpg

    Rembourrer avec ce que vous aurez choisi. Ici des graines de lin.
    Ensuite utiliser le fil de fronce pour fermer la fraise et coudre hermétiquement.


    10.jpg 11.jpg
    Avec une aiguille de tapissier, passer au centre de la feuille le ruban de satin et nouez le.

    12.jpg
    Fixer la feuille sur le dessus et au centre de la fraise par une série de points invisibles.
    Personnellement je fais des points en dessous et au centre des parties longues en piquant uniquement une épaisseur de tissu , puis des points au bord des parties courtes.


    Voilà votre fraise est prête à se faire piquer pas par une guêpe, mais par vos aiguilles.


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  • Le soleil n'étant pas très courageux
    Dans notre ciel bien nuageux,
    Munie de mon inséprable appareil,
    A la recherche de ce qui manque dans mon ciel,
    Je suis partie avec la ferme idée
    De faire quelques clichés.
    Vincent Van Gogh les a dessinés,
    Je me contente de les photographier,
    Leurs coeurs envahis d'abeilles
    Dont le bruit des ailes
    Bourdonnait à mes oreilles
    Comme une ritournelle.
    Pour vous, amis connus,
    ou lecteurs assidus,
    Je vous offre une mosaïque horticole
    De ces magnifiques tournesols.

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  • Que lis-je ? Que vois-je ? Qu'entends-je ?
    La création d'un comité étrange
    Qui proclame haut et fort
    Mais à grand tord
    Que la tomate se marie avec le vinaigre !
    De quoi la faire tourner à l'aigre,
    Lui faire perdre son goût
    Si bon, si doux !
    Gardez donc vos vinaigrettes
    Pour les clopinettes.
    Je me hisserai sur les barricades
    Au risque d'une algarade

    huile-olive.jpg Pour défendre l'huile d'olive
    Qui à elle seule rend les tomates gustatives !!!!



    Chez Schmilbilck on s'obstine à vouloir consommer les tomates avec du vinaigre !
    Mais quel sacrilège !
    Martine pour  contrecarrer le mouvement du
    Comité Fervent Défenseur de la Tomate  a lancé la Consommation Gourmande de la Tomate.


    Comme le dit si bien Liza de Grèce, nous les méditérranéens n'avons nullement besoin  de vinaigre pour savourer les tomates.
    Nous acceptons d'adjoindre à nos tomates du basilic (presque indispensable) de la mozzarella, de la feta, mais pas du vinaigre !

    Alors que les amateurs de la tomate non dénaturée nous rejoignent !

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  • Bon alors vous êtes prêts à reprendre la balade ?
    Vos lacets sont bien attachés ? Je ne voudrais pas que  quelqu'un  tombe et ralentisse la marche !
    Alors si tout le monde est sur les starting-block, on y va !

    Nous quittons le Marais et nous allons vers les quais de Seine,  où je me laisse séduire par les bouquinistes qui attirent tant de touristes en ouvrant leurs boîtes à livres posées sur les parapets de la Seine. Ces boîtes à livres s'appelaient autrefois "Les plombs" parce que les couvercles étaient faits de plomb, aujourd'hui ils sont en zinc.

    Le pont de Maine, nous nous retrouvons sur l'Ile Saint Louis, nous traversons l'Ile Saint louis pour rejoindre le Pont de la Tournelle. Une petite halte pour faire quelques photos: le  Pont de l'Archevéché,  Notre Dame vue côté sud, les berges de la Seine avec ses promeneurs, l'Ile de la Cité vue du pont de la Tournelle.
    Nous longeons le quai de la Tournelle , puis le quai de Montebello. Nous traversons le Petit Pont pour rejoindre la Place du Parvis de Notre Dame sur l'Ile de la Cité- le coeur de Paris-
    Cette île était le lieu de tous les pouvoirs, monarchique, judiciaire, médical, religieux. Sur quelques arpents au milieu de la Seine on y trouve le Palais de Justice, la Conciergerie, l'Hôtel Dieu, la Sainte Chapelle, Notre Dame de Paris.

    Comme c'est la fête de la musique, nous pouvons assister sur la place à un"concert" de percussions.

    La façade principale ouest de la cathédrale s'élève devant nous.
    Quelques photos, dont une de la galerie des rois d'Israël et de Juda.
    Lors de la révolution frannçaise, les émeutiers croyant qu'il s'agissait des statues des rois de France les abattirent . Elles furent redessinées pas Viollet-le-Duc. Les statues originales ont été retrouvées dans les sous-sols d'une banque et sont exposées au musée du Moyen-Age de Cluny.
    Puis une photo de la Rose de la Vierge et son auréole de pierre.
    En se plaçant avec suffisamment de recul et dans le bon axe, on peut alors admirer la Vierge avec son incroyable couronne, une rose de 9.60 mètres de diamètre.
    Mais pour l'heure, avec la foule de touristes je n'ai pas pu trouver le bon emplacement pour faire l'impeccable photo.

    En revanche je ne manque pas de photographier le POINT ZERO des routes de France. Situé sur la place du Parvis de la cathédrale, il  est matérialisé par un médaillon en pierre autour d'une rose des vents.
    Il est le point géodésique de Paris, c'est à dire la référence à partir de laquelle sont calculées les distances entre la capitale et les autres villes de France.

    C'est bon tout le monde suit ????

    Alors nous rejoignons le pont de l'Arcole pour retraverser la Seine retrouver le Quai de Gresves et le Quai de l'Hôtel de ville, puis ensuite Place de l'Hôtel de Ville.
    Un peu d'histoire sur l'hôtel de ville :
    En 1533, le bâtiment tombant en ruine, François 1er décide de construire un hôtel de ville. Les plans sont réalisés par un architecte italien, Dominique de Cortone, et s'inspirent de l'esprit renaissance.
    En 1885, deux pavillons d'angle reliés à la façade par une galerie sont ajoutés.
    Lors de la Commune en mai 1871, l'hôtel de ville est incendié. Ce sont les architectes Ballu et Deperthes qui sont choisis pour la reconstruction à l'identique.
    Connaissez-vous l'origine de :"Faire la grève" ?
    Cette expression vient de l'époque où les ouvriers sans travail se rassemblaient sur la Place de Gresves, devenue maintenant Place de l'Hôtel de Ville.

    Petite info:
    Du 25 mai au 1er juillet, la totalité du parvis de l'Hôtel de Ville accueille un jardin éphémère de 2600 m² composé de plus de 110 000 végétaux, produits dans les serres de la Ville.
    Un jardin partagé, un jardin pédagogique et une friche urbaine illustreront l'évolution récente de la notion de Nature en ville et la nécessité de protéger la biodiversité. Au centre, un espace consacré aux enfants leur permettra de s'initier au jardinage.


    Comme nous avons bien marché, ue petite pause à la terrasse d'un bar s'impose, avant de reprendre le chemin qui nous ramènera à notre point de départ près de République.

    Voilà la journée se termine,  j'espère que vous avez apprécié cette promenade, que vos pieds ne souffrent pas trop. Moi j'ai adoré passer cette journée avec Amandine.
    Lorsque l'occasion se représentera, si vous avez envie de me suivre, je vous emmenerai bien volontiers.






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  • Le 21 juin, nous avions rendez vous avec ma parisienne de fille, Amandine. Même si nous n'habitons qu'à 90 kilomètres l'une de l'autre, nous ne nous voyons pas assez souvent à mon goût. Il faut dire que nos agendas ne sont pas vraiment compatibles. Elle a ses jours de repos en milieu de semaine en raison de son travail.
    J'avais donc prévu de lui consacrer une journée , pour se retrouver entre filles.
    Après 3 heures dans les embouteillages pour parcourir ces malheureux 90 kilomètres, je  l'ai retrouvée chez elle, près de République.
    J'en ai profité pour lui offrir les serviettes que j'avais brodées, elle était toute contente.
    Que ce soit Aurore, ma fille aînée ou Amandine, elles savent toutes les deux que je déteste les transports en commun, et que j'adore Paris à condition d'être à pied. Donc au programme de cette journée, grande promenade pédestre.
    Nous sommes donc parties de République, pour rejoindre le Centre  poly-culturel  Georges Pompidou-Beaubourg, une réalisation des architectes Renzo Piano et Richard Rogers qui a vu le jour en 1972, qui me surprendra toujours par ses couleurs et sa structure et que je trouve toujours surréaliste après 35 ans !

    Puis un passage rue de la Verrière pour admirer le mur végétal sur la façade du BHV Homme. Stupéfiante cette oeuvre de Patrick Blanc, botaniste qui crée des murs végétaux au coeur des plus grandes villes.
    Il faudra que je me renseigne sur cette technique, car je me demande comment on peut faire pousser des plantes sur un plan parfaitement vertical !

    Ensuite une halte Rue des Lombards dans le quartier du Marais, pour un très sympathique déjeuner en terrasse, que ma fille m'a offert pour ma fête des mamans! Au menu, Caviar d'aubergines, féta aux épices, carpaccio. Pour rester raisonnables pas de dessert, mais comme d'habitude pour moi deux expressos bien serrés sans sucre.

    Puis direction le Village Saint Paul au coeur du Marais. Ce village, choisi par Charles V comme lieu de résidence en 1360, est aujourd'hui le village des antiquaires par excellence. Très sympathique, un peu hors du temps dans le tourbillon de la vie parisienne, nous en sommes ressorties par le passage qui donne dans la Rue Charlemagne, ou se trouve le non moins célèbre lycée. Cette rue abrite des vestiges des remparts Philippe Auguste.

    Je vous propose un petit diaporama du début de cette balade, et je vous donne rendez vous dans un prochain article pour la suite de la promenade.

    PS: Mettez des chaussures confortables, si vous voulez suivre sans torturer vos pieds. Vous en aurez encore besoin pour la suite !

    23 commentaires
  • J'ai reçu un très long commentaire aujourd'hui, que je laisse afin que vous puissiez le lire si vous le souhaitez.
    Il m'a été envoyé par Hélène LAVIGNE, qui se bat actuellement afin que la vérité soit faite sur la mort suspecte de son fils Yohan.
    Si vous voulez la soutenir dans son action, allez lire son blog où elle explique cette horrible histoire.
    c'est ICI.
    Vous pourrez également signer une pétition pour que ce dossier soit réouvert.


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